Test capillaire pour les drogues du viol

Test capillaire de Soumission Chimique

Dépistage capillaire (sur cheveux) permettant de rendre compte d’une soumission chimique (drogue du viol/vol) provoquée par l’administration de GHB ou de sédatifs. Permet de dater le moment de la soumission chimique à 10 jours près.

Résultats sous 8 à 10 jours. Confidentialité garantie.

Référence LCMS-SC1C
Type de test Capillaire
Délai maximal de détection Jusqu'à 90 jours
Résultats en 10 jours ouvrés
Fiabilité Très haute. Supérieure à 99%
Marque, Fabricant NarcoCheck
$999,00
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En cours de réapprovisonnement

Total: $999,00 TTC

Le premier TEST CAPILLAIRE accessible aux particuliers !

Le test capillaire permet de réaliser un dépistage des drogues et stupéfiants par l'analyse d'une mèche de cheveux. Cette analyse est dite « quantitative », c'est-à-dire qu'elle va délivrer un dosage exact des traces de drogues présentes dans les cheveux.

Les avantages du test capillaire NarcoCheck

  • Test réalisé en France.
  • Test réalisé en laboratoire certifié ISO 17025.
  • Totalement anonyme.
  • Dépistage de toute consommation au cours des 90 derniers jours !
  • Fiabilité supérieure à 99,9% !s simultanément.
  • Totalement infalsifiable.

Qu’est-ce qu’une soumission chimique ?

On appelle soumission chimique l’administration à des fins criminelles (viol, vol, agression sexuelle, acte de pédophilie) d’un ou plusieurs produits psychoactifs, à l’insu de la victime ou sous la menace.

Quelles drogues dépiste ce test ?

  • Le GHB, qui est la "drogue du viol" la plus connue.

  • Les sédatifs appartenant à la famille des benzodiazépines, comme le zolpidem, le zopiclone, le bromazépam, l’alprazolam, le nordazépam, le clonazépam, la niaprazine et le flunitrazépam (Rohypnol®, Narcozep®).

  • D'autres substances connues pour avoir été utilisées dans des cas de soumission chimique, comme la Kétamine ou la Scopolamine.

Comment prouver qu’il y a eu soumission chimique?

  • Passé un délai de 6 à 12h après la prise de GHB (6 heures dans le sang et 12h dans les urines), il ne reste plus qu’un seul moyen pour prouver la soumission chimique : l’analyse capillaire. Le cheveu est en effet la matrice la plus stable pour rendre compte d’une soumission chimique, même plusieurs semaines/mois après que l'agression ait eu lieu.

    Le corps humain sécrète du GHB de manière naturelle, mais dans de très faibles proportions. On parle de GHB endogène. Ce test a pour but de dépister le GHB dit éxogène, c'est à dire celui qui a été absorbé.

    Pour ce faire, nous découpons les cheveux en 8 segments de 0,3 cm de long. Sachant que 1 cm de cheveux permet de retracer l’historique de consommation sur un mois, les segments de 0,3 cm permettent de dater le moment de la soumission chimique sur une fourchette d’environ 10 jours.

  • Pour les autres substances comme les benzodiazépines et autres sédatifs (flunitrazepam, zolpidem, ect.), leurs traces disparaissent des urines et du sang après 2 à 3 jours. Après ce délai, seul l’examen capillaire peut rendre compte de la soumission chimique.

Les cas de soumissions chimique en France

Chaque année en France, on recense 75.000 viols (dont seulement 8 458 sont déclarés), ainsi que 198.000 tentatives. Une femme est victime de viol toutes les 7 minutes. De plus en plus souvent, le violeur drogue sa victime. En 2011, 273 cas de soumissions chimiques avérés (plus 193 autres cas possibles) ont été observés sur le territoire national, dont une grande majorité a donné lieu à des agressions sexuelles dont les femmes sont les principales victimes. Cette estimation est à prendre avec précaution, car la plupart de ces cas ont été avérés après examen toxicologique sur des matrices urinaires ou sanguines, qui (à la différence du cheveu) ne laissent un champ de détection que de 3 jours maximum après la soumission, 12h quand il s’agit de GHB dans les urines. Dans les faits, il y en a probablement bien plus, mais celles-ci ne sont pas comptabilisées, faute d’analyse toxicologique sur matrice capillaire.

Les drogues utilisées lors de soumissions chimiques

L’une des « drogues du viol » les plus médiatisées est le GHB, dont l’un des précurseurs (le GBL, qui peut être facilement transformé en GHB) est facilement accessible sur internet. Le GHB peut se présenter sous forme de liquide ou de poudre. Une fois dilué, ce puissant sédatif est inodore et incolore. Il est de ce fait indétectable. Après s’être faite droguée à son insu, la victime a tout d’abord la sensation d’avoir trop bu, sa vision se rétrécit, elle n’a plus d’équilibre, ni de notion de la réalité et de libre arbitre. Elle est donc tentée de tout accepter et de suivre n’importe qui, n’importe où. A son réveil, la victime ne se souvient généralement de rien. Elle se met alors à douter, se demande s’il y a vraiment eu viol, et si tel a été le cas, comment elle doit s’y prendre pour le prouver. La personne violée est alors en proie à un sentiment de culpabilité qui, bien souvent, la dissuade de porter plainte. Les victimes ignorent que si elles s’y prennent suffisamment vite, il est possible de prouver le viol par soumission chimique et de confondre son agresseur. Quand il s’agit d’une autre substance, comme certains benzodiazépines ou des somnifères, la sédation peut être telle que la victime ne puisse opposer aucune résistance. La mémoire de celle-ci est en revanche moins altérée que lorsqu’il s’agit de GHB.

Quelques mesures de vigilance ?

  • La multiplication des affaires de viols liés au GHB ou à d’autres substances psychoactives comme les benzodiazépines est très préoccupante. Compte tenu de la facilité d’accès déconcertante au GBL (un précurseur légal du GHB dans de nombreux pays) ou à d’autres benzodiazépines sur internet, cette tendance n’est pas prête de s’infléchir. Il est donc vivement recommandé d’ouvrir l’œil et de rester sur ses gardes.
  • N’acceptez jamais un verre de la part d’un inconnu ou d’un individu en qui vous n’avez pas confiance. Gardez toujours votre verre à la main.
  • En cas de doute, n’hésitez pas à contacter organismes et associations comme le Collectif Féministe contre le viol, SOS Femmes ou Contre le Viol qui apportent un soutien, une écoute et encouragent à aller porter plainte. Cette démarche – souvent douloureuse - est indispensable, car les examens effectués par le médecin expert seront recueillis et conservés comme preuves.

Questions fréquentes

Ce type d'analyse demande de disposer de 70 à 100 cheveux au minimum (diamètre d'un crayon à papier).

Le kit de prélèvement qui vous est envoyé contient un élastique spécial à poser au pied de la mèche de cheveux avant que cette dernière ne soit coupée.

Cela nous permet de disposer d'une mèche bien formée et consolidée, dont les cheveux sont tous alignés dans le même sens, ce qui est nécessaire pour une bonne exploitation de votre échantillon capillaire.

Nous recommandons d'attendre 6 semaines entre l'exposition supposée au GHB et le prélèvement capillaire. Pour les sédatifs, le temps d'attente nécessaire n'est que de 3 semaines, mais dans le cadre de ce dépistage global, on s'alignera donc sur le temps d'attente nécessaire le plus long, c'est à dire celui du GHB (6 semaines).

Car les analyses réalisées sont totalement différentes.

Pour un test capillaire sur des drogues "classiques" (cannabis, cocaïne etc.), nous coupons une mèche de 3 cm de cheveux en trois segments de 1 cm et nous analysons chaque segment, ce qui permet d'avoir ensuite une valeur moyenne de consommation sur les 3 derniers mois.

Pour les drogues du viol, et notamment le GHB, il est impératif de dater à 10 jours près la prise de drogue. Nous coupons alors la mèche en 8 segments de 3 mm et nous analysons chaque segment. Il y a donc 8 analyses au lieu de 3 traditionnellement, d'où un coût nettement plus élevé.

Oui, cela dit, le temps de détection sera inférieur à 90 jours. Comptez une fenêtre de détection de 30 jours par centimètre de cheveux.

Non, la couleur des cheveux n'interfère en rien dans la qualité du dépistage.

Oui, sans problème. Ce dépistage est réalisable sur tous types de cheveux, y compris les cheveux colorés, décolorés ou permanentés.

Oui. Ce dépistage étant anonyme et réalisé par correspondance (vous envoyez votre échantillon par voie postale), vous devez simplement pouvoir prouver que la mèche que nous avons analysée provient bien de votre crâne, sans avoir subi de falsification. Pour ce faire, le plus simple est de passer par votre médecin, qui fera lui-même le prélèvement et nous l'expédiera lui-même avec son courrier du jour. Il pourra alors attester que la mèche envoyée pour analyse vous appartient bien et qu'elle n'a pu subir aucune manipulation.

Info line : 04.70.08.08.85

Comment ça marche ?

1 - Collecte de l'échantillon capillaire

Nous vous envoyons par la poste un kit de prélèvement complet. Très simple à réaliser, ce prélèvement d'une simple mèche de cheveux se fait en quelques secondes.

2 - Expédition de l'échantillon

A l'aide de l'enveloppe préaffranchie qui vous est fournie, vous expédiez l'échantillon au laboratoire. Il sera traité dès réception. Le dépistage sera réalisé grâce à une technique chromatographique couplée à la spectrométrie de masse.

3 - Consultation des résultats

Sous 10 jours ouvrés, les résultats de votre test seront disponibles sur le site internet sécurisé de NarcoCheck. Pour y accéder, il vous suffira simplement de taper le numéro de série et le mot de passe fournis avec votre kit.

Confidentialité absolue !

Ce kit a été conçu pour vous assurer une totale confidentialité. Votre identité n'est jamais connue du laboratoire, car votre échantillon capillaire est accompagné uniquement d'une carte anonyme marquée d'un simple numéro de série et d'un mot de passe.

Cette carte est composée de 2 volets détachables marqués respectivement "Partie à envoyer" et "Partie à conserver". Vous expédiez la partie à envoyer avec votre échantillon, tandis que la partie à conserver vous permettra de récupérer les résultats de votre test sur le site internet sécurisé de NarcoCheck.